En attendant que le mouvement s’étend vers les zones « sensibles » comme Analakely ou Behoririka, les forces de l’ordre entrent dans la deuxième phase de leur Rri (Rapid results initiative de 100 jours) en cette période de vacances scolaires.

L’objectif avoué est de faire disparaître ou tout au moins de fluidifier le flux des véhicules empruntant certains axes de la capitale. Les principaux nœuds routiers situés à Anosizato et Ampitatafika, pour la Rn1 ; celui d’Ankadindramamy et Mahazo vers la Rn2 et d’Ambohibao et Talatamaty, en direction de la Rn4 en sont les principales cibles.

L’essentiel est de pouvoir diminuer la perte de temps équivalent parfois à près de 120 minutes sur l’axe de la Rn1, en période de grande circulation. Et ce sera autant de bonus pour les nerfs et l’essence.

Pour y parvenir, les forces de l’ordre sollicite la coopération des usagers de ces axes, dont en premier lieu les transporteurs. Ce n’est qu’à travers cette entraide,  dixit ces dernières, que l’on pourrait envisager une solution pérenne et idoine à un problème remontant à des décennies.

Et l’un des premiers signes est de savoir respecter les consignes qui ne tarderont pas à être édictés pour matérialiser l’effort de normalisation de la circulation le long de ces voies à fort flux de passages.

Solo R.