Pollutions marines – S’adapter et réagir avec les moyens du bord
« L’important c’est la réaction positive des intervenants préformés avec les expériences acquises tout au long de ces années de simulation, et surtout la coopération de tous en cas d’alerte », soutient Roland Rakotondrasata, directeur général de l’Olep (Organe de Lutte contre l’évènement de la pollution marine.
Comme chaque année, l’organe consacre une journée entière d’exercice de simulation dans les villes côtières. Après la théorie à l’Hôtel de la ville, une séance pratique à proximité du port consacre celle dédiée à Mahajanga, en dernière semaine d’octobre dernier.
Des intervenants locaux habitués, les éléments des forces armées, de l’armée marine, des pompiers, les représentants de la direction régionale de l’environnement ainsi que des autres entités concernées, ont été au rendez-vous.
Avec Roland Rakotondrasata démontrant l’exemple du bac de récupération, lequel peut être remplacé par n’importe quel conteneur en plastique de grande taille en cas d’alerte, outre le déploiement des matériaux usuels, l’Olep à apporté un plus cette fois, en initiant les participants à utiliser des matériaux d’adaptation pour limiter au plus vite les dégâts des déversements en mer… Il a aussi avancé l’utilisation des barrages de fortune à confectionner avec des planches, faute de matériel flottant adéquat.
Solo R