Reconnaissance et gratitude – « Andréas’day », le 26 février 2016
Habituellement, un jubilé revêt une double facette : l’aspect spirituel (culte et autobiographie du concerné) et l’aspect matériel (offrandes, libéralités, dons de mobilier ou d’immobilier) et tous les vœux distillés par les officiels. Sans compter l’organisation de commémorations avec ouverture et clôture en grandes pompes au niveau national.
C’est probablement cette festivité grandiose que le modeste Richard Andréas voulait éviter. Cette personnalité qui reste à l’écoute du petit peuple doit être au courant des supputations et préjugés émis par les fidèles lors des collectes d’offrandes effectués au niveau des synodes, sans exception.
Quoi qu’il en soit, ce paroissien incontournable du « Toby Ankaramalaza », a dû se plier aux sollicitations de toutes parts pour enfin finalement accepter la célébration d’un « Andréas’day » en lieu et titre d’un jubilé : le 26 février pour la remise de décoration suivie d’un point de presse et le 28 janvier pour un culte à la paroisse Fahamarinana 67 Ha.
Solo R.