« L’Onudc pourra nous appuyer en plusieurs domaines tels que la loi, le renforcement de capacité, les bases de données, les informations », déclare Beboarimisa Ralava, Ministre de l’Environnement, de l’Ecologie, de la Mer et des Forêts.

Ensemble, l’Interpol, l’Organisation mondiale de la douane, le Consortium international de la lutte contre la criminalité liée aux espèces sauvages, la Cites et l’Onudc forment un bloc contre les trafiquants. Interpol apportera leurs appuis sur les enquêtes et les informations pour traquer et coincer les trafiquants, l’Organisation mondiale de la douane pourra donner les informations et des pressions sur les trafics, l’Iccwc et la Cites et l’Onudc pourront aider la Grande île à mettre en place et en application un mécanisme pour la lutte contre les trafics, et pourquoi pas à traquer ces mafias  en justice, la Banque Mondiale et l’Onudc pourront apporter les financements nécessaires à l’opération.

Avec le recrutement d’un cabinet d’avocat international appuyé par les Etats-Unis, ce sera la fin de parcours des trafiquants de bois de rose et l’éclatement du réseau des trafiquants de ressources naturelles de Madagascar.

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