Kopi Kolé – Yazz-Poopy couronné
Après plusieurs semaines de combats du côté des candidats et de suspens du public, la finale du concours de téléréalité Kopi Kolé arrive à sa fin. La grande finale des cinq candidats s’est tenue samedi. Entre ceux qui copient Poopy, Jeneraly, Fafah, Hantantiana et Eric Tselatra. La compétition a été très serrée surtout côté vote du public entre Jeneraly et Poopy et bien sûr la petite Hantatiana qui n’a pas laissé le public indifférent. Pour cette finale, le jury a été composé d’Anja, Njiva, Rindra Duprè, Njaka et de Gothlieb. Comme il n’y a qu’une seule place, un seul lauréat, le prix a été attribué à Yazz Ranaivo, le Kopi Kolé de Poopy. « Un gagnant qui le mérite bien, mais les autres aussi ont mérité de gagner, … » annonce Gothlieb sur sa page Facebook. Les félicitations et des mots d’encouragement pleuvent sur sa page. Un fan de Poopy depuis toujours, Yazz Ranaivo n’a pas eu trop de difficulté à l’imiter, à faire revivre Poopy sur scène. Par ailleurs, le lauréat a suscité beaucoup de « discussions » aussi. Le concours s’appelle Kopi kolé et comme le dit Rindra Duprè, coach et aussi membre du jury « ce n’est pas vraiment la voix du candidat qui est le premier critère, mais c’est plutôt la façon de copier et de coller une (e) star, de jouer comme tel sur scène, ses gestes et surtout l’apparence ». Toutefois, il s’avère que le « sosie » de Poopy est un homme. Comme Myriam Rivo annonce « ce n’est qu’un jeu. Le sexe n’a pas été pris en compte pour ce concours, mais il a bien mérité son titre, il a bien copié Poopy ». Il a été bien gâté en matière de prix et bien sûr, un séjour en Chine.
Natiora qui incarne Hantatiana a gagné le coup de cœur du Jury et une grande majorité du public. « Elle est à craquer et sait bien chanter avec une grande maîtrise vocale » souligne GothLieb. Par ailleurs, Jeneraly a été le coup de cœur des vrais mélomanes. Il est sympathique et avec ses habits (son blouson marron), la morphologie de son visage, sa voix, bref, il a parfaitement le Kolé de Jeneraly. Pour le promoteur, Kopi Kolé était juste un jeu, un concours n’ayant pas pour but de sortir des professionnels. « Les candidats restent leur propre maître à partir de là » annonce un membre un coach. « Par ailleurs, le public demande une prestation, un concert avec les candidats et certains ont même déjà décroché des contrats » poursuit-il.