La majorité  des écoles privées seront ouvert pour cette semaine malgré la consigne venant d’en haut qui priorise l’importance d’une semaine de vacances. Une fois de plus, l’opinion publique se tourne vers une la direction opposée d’une décision prise par les dirigeants. Pourtant, un directeur au sein du ministère de l’Education nationale a déjà déclaré que les écoles privées ont déjà acceptés le compromis.

Tout le monde n’attendait que le changement de position du ministère de l’Education nationale (Men) concernant la vacance exceptionnelle d’une semaine pendant le déroulement du sommet de la francophonie. Pour rappel, le ministre de tutelle a précisé, la semaine dernière, que les écoles privées sont libre d’arrêter les cours ou de continuer. Dans la plupart des cas, la deuxième option est la plus suivie. Les directions des écoles ont envoyés des lettres de notifications aux parents d’élèves que désormais, il y aura des cours normaux  pendant toute la semaine ou, à la limite pour certains établissement, jusqu’à mercredi.

Pourtant, au mois d’octobre, les parents ont déjà reçu une autre notification relative à une suspension des cours du 22 au 25 novembre. Questionné sur cette décision, la directrice d’une école sise dans le troisième arrondissement a expliqué que c’était à cause d’un ordre venant du ministère de l’Education nationale que son staff avait pris la décision de faire un break pendant la francophonie même si les parents d’élèves n’adhéreraient pas à cette idée.

Tous les parents d’élèves se sont exprimés leurs déceptions face à cette vacance d’une semaine ce qui aurait emmené le ministre à donner la liberté aux établissements privés de faire leur choix. Pourtant, ceux des écoles publiques ne peuvent rien faire à part le respect strict de la décision. Il est donc logique que le niveau des enfants inscrits dans les Epp et Ceg reste pitoyablement faible par rapport aux privés. Ces enfants issus des failles qui n’ont pas le moyen de payer les frais de scolarités dans le privée sont soumis à se plier à toutes les caprices des décideurs ainsi que des syndicats d’enseignants qui ne pensent qu’à l’augmentation du montant dans leurs fiches de payes.

Dom