Sambava – Un homme tue l’enfant de sa femme de sang froid !
Un père de famille avait accompli un acte barbare la semaine dernière, à Anjagnoveratra Sambava. D’après les informations reçues, l’individu a élu domicile en compagnie de son épouse. Cette dernière ayant déjà eu un enfant qui se trouvait également avec eux. L’incident s’est produit au moment où le père de famille avait demandé à l’enfant de lui acheter des cigarettes à l’épicerie du coin. Mais la colère montait en lui, quand le petit est revenu avec autre chose que ce qu’il avait demandé un peu plus tôt. Les coups s’étaient directement abattus sur le petit qui avait plus tard succombé à ses blessure. Les habitants ne se sont pas gênés, ensuite pour mettre le feu à la maison du père de famille en cause de la mort brutale de cet enfant.
Punition
Le corps inerte et sans vie d’un enfant avait été découvert à Sambava. Celui-ci avait été brutalement tabassé par le mari de la mère de l’enfant. L’enterrement avait eu lieu le mercredi 23 novembre 2016. Des cas de ce genre sont souvent constatés dans les relations où l’un des conjoints avait déjà procréé avant l’autre. En effet, il est rare de trouver dans certaines familles un beau père ou une belle mère qui soit attentionné envers les enfants de leur conjoint. Dans un cas sur deux, ceux-ci se montrent généralement très atroces et cruels. Cependant, rares sont ceux qui finissent par ôter la vie à l’enfant, comme le cas de ce père de famille de Sambava. Ce dernier avait d’ailleurs été directement arrêté par les agents de la gendarmerie de poste avancé de la région d’Anjagnoveratra. Une enquête avait été effectuée concernant cette affaire et le beau père en cause avait été déféré devant le parquet d’Antalaha, hier. Toutefois, sans attendre le verdict de la justice, quelques habitants de la ville s’étaient rués dans la maison du tueur et avaient brûlé la propriété en guise de punition pour cet acte barbare. Fort heureusement, les agents des forces de l’ordre avait rapidement intercepté le coupable, sinon une vindicte populaire lui aurait sûrement été attribuée à la seconde où les habitants auraient mis la main sur lui. La maison en question avait été brûlée jusqu’au dernier objet qui s’y trouvait.
Athanase