Dispute familiale – Un homme tue son beau frère de sang-froid
L’individu coupable du meurtre de son beau-frère a été placé sous mandat de dépôt à Antanimora, hier. Le verdict est tombé en fin d’après-midi suite à son déferrement devant le parquet dans la ville d’Antananarivo. Le meurtrier, âgé tout juste de 22 ans, a été arrêté par les agents de la brigade criminelle d’Anosy le mardi 17 janvier 2017. Accusé du meurtre de son beau-frère, il n’avait d’ailleurs pas nié les faits. D’après les informations reçues auprès des enquêteurs, l’inculpé avait usé de bois rond pour assommer la victime qui avait trouvé la mort sur le coup. En effet, les agents de police en question avait reçu un appel de la Bmh le jeudi 12 janvier 2017, indiquant la présence d’un corps sans vie dans le quartier de Manjakaray. Quelques éléments sont directement descendus afin de procéder à une enquête. A première vue, le décès de l’homme en question s’apparente à un meurtre car les responsables avaient remarqué que celui-ci a reçu un coup brutal sur la tête et le reste du sang séché trouvé au niveau de son oreille gauche.
Malade mental
Les agents de brigade criminelle d’Anosy avait directement procédé à une enquête. Toutes les preuves indiquant la culpabilité du beau-frère de la victime en question. Celui-ci avait d’ailleurs avoué son acte lors de son interrogatoire, en affirmant qu’il avait brutalement frappé le défunt à l’aide d’un bois rond qui se trouvait à proximité. En effet, d’après ses dires, il avait surpris une grave dispute entre la victime et sa belle-mère. Chose qu’il avait du mal à supporter d’après lui. L’on ignore encore les raisons exactes de cette dispute et de cette colère soudaine du meurtrier. Mais en tout cas, il avait saisi un bois rond qui se trouvait à proximité et en a frappé la tête de son beau-frère avec. Le coup porté à la personne avait été effectué avec une grande brutalité que celle-ci avait trouvé la mort sur le coup. Il devient de plus en plus fréquent que les disputes familiales virent au drame, comme le cas de cette affaire. Les individus ne prennent plus le temps de maîtriser leur colère mais agissent directement, souvent dictés par leur colère. Dans les cas de dispute conjugale, il a déjà été déclaré que le mari avait quasiment mis le feu à son domicile après s’être sectionné intentionnellement son appareil génital. Toutefois, dans ces cas-là, il a souvent été constaté que les auteurs de l’acte étaient atteints de maladie mentale.
Athanase