Analakely – La gestion des parkings échappe à la CUA
La gabegie reprend dans l’utilisation des stationnements déjà bien tracés dans le centre ville. En effet, les automobilistes ne peuvent plus utiliser ces parkings à cause de plusieurs irrégularités que la municipalité n’arrive plus à contrôler. D’abord, les taxis envahissent les stationnements destiné pour le publique. On ne sait pas si ces tas de ferraille de couleur beige crème payent le Ar 500 imposé par Easy Park, mais ils sont trop nombreux à infester les rues du centre ville. Ensuite, les marchands illicites de voitures d’occasion ainsi que les acheteurs d’or irrégulier squattent à longueur de journée des parkings à Analakely comme si ces espaces étaient leur propriété. Enfin, les autres stationnements sur rue à Analakely sont occupés par des marchands illicites qui empêchent les voitures de se garer. Les automobilistes ne comprennent plus le mode de fonctionnement d’Easy Park et de la Commune urbaine d’Antananarivo. Des individus sans badge, ni tenues adéquates s’occupent de la régulation des parkings à Analakely. Ce sont ces derniers qui s’occupent des automobilistes en prenant le droit d’Ar 500 et s’occupent de l’achat du ticket chez les agents qui s’occupent de l’horodateur. Les bons serviteurs assurent la garde des voitures et réclament ensuite un pourboire pour le service qu’ils ont effectué. Finalement, les automobilistes doivent payer un surplus minimum d’Ar 200, à part le droit d’Ar 500 par heure imposé par Easypark. Toutes ces irrégularités se passent à quelques mètres de l’hôtel de ville où le maire et son équipe travaillent quotidiennement. Il est difficile de croire que la magistrate de la ville nest pas au courant de cette flagrante mauvaise gestion des parkings à Analakely. Pourtant, c’est son équipe qui a donné l’autorisation de la gestion de parking à une société privée.
Dom