Ambatovy – Record de production trimestrielle
Sherritt international a publié hier les résultats de la compagnie pour les deux premiers trimestres de cette année. Dans son communiqué, Sherritt international – détenteur à 40% de l’action dans le projet d’Ambatovy - annonce que son projet à Madagascar contribue à la montée en puissance de la compagnie. En effet, la compagnie annonce que la production de nickel et de cobalt à Ambatovy au deuxième trimestre a été légèrement meilleure que le premier trimestre et ont tous deux atteint des records de production trimestrielle. Au deuxième trimestre de 2014, 3602 tonnes de nickel ont été produites (9004 tonnes, 100%), ce qui représente une augmentation de 26% par rapport à la période de l’exercice précédent. Au cours du trimestre, 285 tonnes de cobalt ont été produites (712 tonnes, 100%), ce qui représente une augmentation de 14% année sur année.
Le débit de minerai moyen dans le circuit de PAL était d’environ 58% pour le deuxième trimestre, comparativement à 67% au premier trimestre de 2014. Le débit plus faible au cours du trimestre est le résultat de divers problèmes mécaniques imprévus, tels que la soupape et l’entretien de la tuyauterie. Les heures de fonctionnement autoclave au cours du deuxième trimestre de 2014 étaient 6911 heures, contre 6740 heures pour le premier trimestre, démontrant une fiabilité accrue mécanique des autoclaves. Afin de soutenir les objectifs de production d’Ambatovy, des personnels techniques supplémentaires avec expertise métallurgique et opérationnel ont été embauchés pour aider à l’optimisation des performances de l’installation.
Au deuxième trimestre, les volumes de vente de nickel et de cobalt ont été plus faibles que les niveaux de production en raison du calendrier des livraisons.
Le coût direct net de nickel était 7,19 $ US la livre au deuxième trimestre de 2014. L’installation est à environ 60% de sa capacité de production de métal fini. Les dépenses en immobilisations pour Ambatovy se concentrent sur le maintien des activités et de la construction de la Phase II de l’installation de gestion des résidus.
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