Madagascar Oil – La banque d’investissement Jerreferis à la recherche de partenaires
Madagascar Oil a déclaré qu’elle a choisit la banque d’investissement Jefferies International Ltd pour faciliter la recherche de partenaires pour son projet d’exploitation pétrolière à Tsimiroro.
En outre, la société a obtenu une facilité de financement de 5 millions Usd d’Outrider Management Llc pour financer la poursuite des travaux sur le site. La perte avant impôt de la société s’élève à 12 millions de dollars l’année dernière contre 12,1 millions de dollars un an plutôt. L’arrivée de Robert Estill à la tête de la compagnie a apporté de nouveaux souffles. En effet, il apporte son expertise non seulement dans l’exploitation de l’huile lourde, mais aussi dans le domaine de la responsabilité des entreprises et de l’engagement de la communauté locale. Plusieurs jalons ont été atteints. Les investisseurs ont commencé à se réveiller au potentiel de l’entreprise en Avril lorsque les autorités malgaches ont approuvé le plan de développement du champ de Tsimiroro. La présentation du dossier pour l’évaluation de l’impact environnemental en vue d’obtenir le permis environnemental a eu lieu le mois dernier. La compagnie a trouvé un bon partenaire avec la nomination de Jefferies. « Il est temps, maintenant de passer à la mise au point de l’actif. Pour cela, nous voudrons avoir de bons partenaires » a déclaré Robert Estill.
La société annonce qu’elle a un stock de 110 000 barils de pétrole. Elle vise d’abord le marché intérieur et déjà en pourparlers avec plusieurs clients potentiels. Tsimiroro est un grand champ pétrolier qui regorge près de 1,7 milliard de barils de ressources contingentes récupérables.
L’huile lourde de Tsimiroro est peu profonde. Par conséquent le coût de l’exploitation est relativement faible. Le développement Tsimiroro commence avec ce que la société appelle la phase « d’ancrage ». Environ 400 nouveaux puits seront forés dans cette phase initiale avec une production qui varie entre 7 000 à
10 000 barils par jour d’ici fin 2018 ou au début 2019. L’étape « d’ancrage » sera suivie d’une étape « fast track », selon lesquels la production sera étendue jusqu’à 50 000 barils par jour de 2019 jusqu’en 2021/2022. Au-delà de cette période, l’exploitation passera à la phase de croisière avec une production de 50 000 barils par jour à plus de 100 000 barils par jour.
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